Mamiyo s'avance, éreintée, de la boue plein les genoux, bien misérable, devant les portes du pensionnat.
*Ai-je le droit d'entrer?*
Elle toque à la grande porte, et attend que quelqu'un vienne lui ouvrir...
Voyant que personne ne l'entend, Mamiyo frappe une nouvelle fois, plus fort, espérant que quelqu'un l'entendra. Le froid lui mort les joues et des flocons de neiges tombent dans ses cheveux.
-Ohé! Il y a quelqu'un par ici? Ouvrez...
*Il y a de la lumière, il y a sans doute quelqu'un...Ce bâtiment est tellement grand!*
Ne voyant toujours personne arriver, Mamiyo ouvrit la porte d'elle-même et entra dans le hall, la peur au ventre.