[Terminé] Quand Yuki Yuk' débarque !

Une immense voiture de luxe se gara sur le trottoir et un magnifique jeune homme en sortit, le téléphone à son oreille et une valise derrière lui. Il claqua la portière, fit un geste pour que le conducteur descende la fenêtre, mis le téléphone en suspend et enlaça tant bien que mal l'homme.

- T'inquiète P'pa, je gère. J't'appelerai un de ces jours. Moi aussi, j't'aime.

Puis, il s'approcha de l'académie, ouvrit la porte à la volée et se mit à crier :

- YOUHOUUUUU ! C'EST MOIIIIIIIIIIII !

Puis, il rigola car son crit résonnait dans tout le pensionnat et attendit que quelqu'un vienne.

RanFan descendait la rue et elle arriva devant les grilles de l'académie, et elle y entra. Soudainement, elle entendit un "YOUHOUUUUU ! C'EST MOIIIIIIIIIIII !".

* Oh, v'là déjà un dégénéré, ma parole... *

Elle vit ensuite un garçon, sans doute le même que celui qui avait crié. Elle s'avança vers lui.

- Hum, bonjour, vous êtes nouveau vous aussi ?

Yuki sourit (colgate total super brillance) à la jeune fille qui s'avançait et lui répondit sur un ton assez joyeux :

- Oui ! Et toi aussi, je pense ?
L'adolescent passa la main dans sa poche droite, fronça des sourcils et s'écria :

- Noooooooon ! J'ai oublié le plan de ce pensionnat....Je l'ai laissé sur le siège de la voiture (T_T)

Il regarda à nouveau la jeune fille et demanda poliment :

- Euh, toi, tu en as un ?

- Ah, euh, oui, je l'ai. On pourrait chercher nos chambres ensemble, déjà ?

Elle sortit de sa poche arrière de son jean un papier blanc bien plié.

Yuki lui sourit et répondit :

- D'accord, je veux bien. J'espère que tu m'as pas trop pris pour un dingue, avant....Je suis assez..impulsif on dira. Bref, allons-y. Ah, et, à qui ai-je l'honneur ?
Il la regarda et attendit une réponse

- Je m'appelle RanFan. RanFan Chang. Allons-y. Et, au fait, comme t'appelles-tu ?

Elle sourit et se mit en route avec lui.

Yuki lui rendit son sourire. Bon, ok, il sourit chaque deux secondes, mais quand même, et il se présenta :

- Je suis Yuki Kitaru. Et je détèste qu'on m'appelle Yuyu.

Il pouffa et continuait d'avancer.